Avec
Nathalie Claude
Rose-Anne Déry
Renaud Lacelle-Bourdon
André-Luc Tessier
Assistance à la mise en scène
Cam Poirier
Décor et accessoires
Anne-Sophie Gaudet
Costumes
Cynthia St-Gelais
Lumières
Joëlle LeBlanc
Conception sonore
Étienne Thibeault
Conception vidéo
Eliot Laprise
Maquillage
Justine Denoncourt-Bélanger
Rompre la routine et briser le quotidien. C’est ce que décident de faire les quatre personnages d’Une journée, chacun à leur façon. Car ils aspirent à un avenir glorieux, alors que le point culminant de leur journée ressemble le plus souvent à une soupe minestrone préparée à la mijoteuse.
En vingt-quatre heures, quelque chose les poussera à agir, à sortir de l’autosabotage pour tenter l’impossible et aller au-delà de la routine : quitter son travail un matin pour aller retrouver sa mère, renouer avec son ancienne flamme, vouloir passer directement à la journée suivante, mettre la main sur le cellulaire de sa collègue. Autant de voies pour sortir de l’isolement et y trouver, qui sait ? une issue ou… une acceptation de la banalité.
Si la peur et l’isolement sont des thèmes chers à Gabrielle Chapdelaine, ils ne l’empêchent nullement de manier un humour incisif et un ton éclaté. Cet habile mélange de ludisme et d’angoisse a été récompensé en 2018 quand l’autrice a reçu le prix Gratien-Gélinas, remis au meilleur texte francophone au Canada. Olivia Palacci, qu’on a pu voir sur les planches du Quat’Sous dans Chapitres de la chute, en signe la mise en scène, après avoir dirigé avec succès Béa à La Licorne en 2015 et en 2018.
Rompre la routine et briser le quotidien. C’est ce que décident de faire les quatre personnages d’Une journée, chacun à leur façon. Car ils aspirent à un avenir glorieux, alors que le point culminant de leur journée ressemble le plus souvent à une soupe minestrone préparée à la mijoteuse.
En vingt-quatre heures, quelque chose les poussera à agir, à sortir de l’autosabotage pour tenter l’impossible et aller au-delà de la routine : quitter son travail un matin pour aller retrouver sa mère, renouer avec son ancienne flamme, vouloir passer directement à la journée suivante, mettre la main sur le cellulaire de sa collègue. Autant de voies pour sortir de l’isolement et y trouver, qui sait ? une issue ou… une acceptation de la banalité.
Si la peur et l’isolement sont des thèmes chers à Gabrielle Chapdelaine, ils ne l’empêchent nullement de manier un humour incisif et un ton éclaté. Cet habile mélange de ludisme et d’angoisse a été récompensé en 2018 quand l’autrice a reçu le prix Gratien-Gélinas, remis au meilleur texte francophone au Canada. Olivia Palacci, qu’on a pu voir sur les planches du Quat’Sous dans Chapitres de la chute, en signe la mise en scène, après avoir dirigé avec succès Béa à La Licorne en 2015 et en 2018.
Avec
Nathalie Claude
Rose-Anne Déry
Renaud Lacelle-Bourdon
André-Luc Tessier
Assistance à la mise en scène
Cam Poirier
Décor et accessoires
Anne-Sophie Gaudet
Costumes
Cynthia St-Gelais
Lumières
Joëlle LeBlanc
Conception sonore
Étienne Thibeault
Conception vidéo
Eliot Laprise
Maquillage
Justine Denoncourt-Bélanger